De nombreux courant spirituels parlent d’effondrement salutaire.
Parfois il faut un cancer ou un Burn out
pour sentir que ma vie n’est pas ma vie
et que quelque chose ne va pas…
Parfois il me faut toucher le fond de la dépression
jusqu’à être prête à mourir pour enfin me dire,
« bon, puisque j’en suis là,
qu’est ce que je pourrais oser changer avant ? »
Et venir rencontrer ce qui ne va plus.
Remettre enfin en question
un conjoint, un patron, un job, une habitude
une peur ou une certitude et revenir à soi.
Parfois on a besoin de laisser pleurer,
sentir ce qui me touche,
s’arrêter, s’effondrer,
admettre la part de l’enfant terrifié en moi.
L’effondrement salutaire est un terme repris par Isabelle Padovani
pour exprimer la libération présente dans tout traumatisme de vie…
Ce qui est douloureux est une carte au trésor
et nous ramène à une vie sans effort
à être enfin à nouveau soi,
dans le respect de nos limites
et l’harmonie avec les autres.